Holà voyageur, prenez un moment pour vous arrêter dans mon antre. Vous y trouverez des mots perdus, des écrits encrés par ma plume ancrée dans mon poing et les dernières nouvelles quant à ma traduction des archives de la Contrée Malade… Je vous laisse vous égarer, mais ne touchez à rien!
Cette fois, je me suis emparé de l’album The Ethereal Mirror de Cathedral pour produire une nouvelle aux senteurs de tourbe et aux délires fantasques et quelque peu lubriques.
Ça y est! La première nouvelle à bande-son est sortie! Comme prévu c’était un exercice intense et complexe mais vraiment intéressant! Le plus dur est de voir que la nouvelle se lit 6 fois plus vite que l’album ne s’écoute ce qui crée un décalage. On ne peut donc pas lire et écouter simultanément. Il faut le faire alternativement pour bien s’imprégner de l’univers.
Une autre difficulté est que The Great Old Ones s’inspire très fortement de Lovecraft et que des passages de récit en français ponctuaient l’album : j’ai donc dû suivre ces indications par soucis de cohérence tout en sachant que la plume de Lovecraft avait déjà, à l’origine écrit cette histoire avec le talent que l’on sait.
Pour ne pas être trop sous influence, je précise que jamais je n’ai lu Lovecraft avant d’écrire cette nouvelle, ce que je vais commencer à faire tout de suite après l’avoir posté.